"La colocation du bonheur" est proposée sur le site Le Bon Coin. Cette annonce est remplie d'humour et va certainement vous faire décrocher un sourire.

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"Voici le lieu qui va changer [votre] vie". C'est ce que le début du texte de l'annonce promet. Intitulée, "La colocation du bonheur", cette annonce est parue sur le site de ventes entre particuliers, Le Bon Coin. Remplie d'humour, elle explique l'ambiance régnante au sein de cette colocation située "en plein centre de Nancy, à 30 secondes en calèche de la place Stanislas, avec vitraux Emile Gallé et moulures au plafond" est-il précisé de manière comique.

Cette annonce s'adresse aux personnes cherchant donc une colocation et qui s'ennuient chez elles "avec pour unique compagnon [leur] télévision 36cm combiné magnétoscope". La description de cette colocation est, vous l'aurez compris, réalisée avec beaucoup d'humour. Ainsi, ce futur habitant pourra jouir "d'une baignoire et un robinet qui offre eau froide ET chaude, et du gel douche Cadum peaux sensibles, car nous sommes des hommes sensibles".

Dans cette offre, il y a donc une chambre, "dans laquelle vous pourrez dormir [...] ou chanter du Pierre Billon (et notamment la fameuse chanson "La Bamba Triste", ndlr) à votre guise. Chambre qui dispose de sa propre porte ouvrable et refermable à volonté". Côté plus : "pas la peine de disposer du papier au fond de la cuvette pour couvrir le bruit, notre cabinet est musical" !

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VIDEO du nouveau One World trade center

Le One World trade center ouvre ses portes

L'orthographe, certains n'y accordent pas beaucoup d'importance et d'autres se croient ultra bon, mais une chose est sûre la langue dite de Molière est loin d'être si simple. Et pour obtenir un job, il vaut mieux éviter ces dix erreurs. Top 10 des fautes de français à ne surtout pas commettre !

"Ils croivent" ou "après qu'il ait dit" sont des fautes si employées qu'elles s'immiscent absolument partout ! Voici le top 10 des atrocités de la langue française qui irritent les oreilles des recruteurs et qui leur brûlent les yeux.

1- "Ils croivent":

Les gens ont tendance à conjuguer le verbe "croire" comme le verbe "boire", or c’est une grosse erreur qui a le don d’agacer ! Le verbe "croiver" n’existe pas.

Cette faute ne sera probablement pas commise à l’écrit sur une lettre de motivation, mais il suffit que vous la fassiez à l’oral lors de l’entretien d'embauche et tout sera foutu pour vous...

2- "Parmi" et "Malgré":

Il est vrai que dans la langue française il existe de nombreuses lettres muettes, mais ce n’est pas une raison pour la déformer. C’est simple, "parmi" et "malgré" ne portent JAMAIS de -S.

3- "Moi, personnellement" :

Encore une fois il s’agit là d’une faute commise par beaucoup de personnes. Cependant, cette tournure n’est pas incorrecte mais c’est un pléonasme, donc c'est une faute.

Un pléonasme c’est l’emploi de deux expressions ayant le même sens. Exemple: "descendre en bas" ou "au jour d’aujourd’hui". On descend forcément en bas, et aujourd’hui signifie déjà "au jour d’aujourd’hui" !

4- "Je pourrai ou je pourrais" ?

Il n’est pas toujours évident de savoir quand est-ce qu’il faut mettre un "s" ou pas. Conditionnel ou futur, là est la question.

Petite règle bonne à savoir et facile à retenir: le futur s’emploie lorsqu’il y a certitude ( "je le ferai demain") et le conditionnel s’emploie lorsque ce n’est pas certain ("je devrais le faire").

Autre astuce: transposer les verbes au pluriel pour savoir si l’on doit mettre du futur ou du conditionnel. Exemple: "Je pourrai passer samedi" (nous pourrons passer samedi). "Je sais que je devrais le faire" (nous savons que nous devrions le faire).  

5- "Après que" et "avant que" :

On dit "avant qu’il aille au marché" mais on dit surtout "après qu’il a fait ses devoirs". Certes, à l’oral c’est choquant mais c’est la règle ! "Après que" est toujours suivi de l’indicatif et "avant que" suivi du subjonctif.

6- "Si j’aurais":

Lorsque l’on emploie la conjonction de condition "si" on exprime soit une idée de condition ou bien d’hypothèse réalisable ou irréalisable.

Dans le cas où on utilise l'imparfait avec la conjonction "si" c'est parce que l'hypothèse ou la condition est irréalisable. Il faut donc respecter les temps suivants et dans l'ordre : Si + imparfait + conditionnel présent. Exemple: "Si j'étais riche". 

7- "Quelque soit" :

"Quelque soit" est totalement faux et incorrect. "Quel que" s’écrit en deux mots quand il est suivi d’un verbe au subjonctif en l’occurrence le verbe "être" : "quel que soit son projet".

8- "Etre en charge de":  

Il s’agit d’un anglicisme car cette expression est directement empruntée de l’anglais. En général il vaut mieux éviter ces barbarismes et vérifier l’expression avant de l’employer. On dit "être chargé de" ou bien "avoir la charge de" mais pas "être en charge de" ! Il y a tout de même une différence...  

9- "Faire montrer ":

Si vous êtes amené à présenter vos travaux à votre futur patron, surtout ne dites pas "je peux vous faire montrer mon power point". Soit vous dites "je vais vous montrer" ou bien "je peux vous faire voir" mais pas un mix des deux "vous faire montrer".  

10- "A l’attention de" ou "à l’intention":

A l’oral, l’erreur ne se remarque même pas tant ces deux expressions sont similaires, en revanche à l’écrit elle se remarque bel et bien !

Lorsque vous écrivez une lettre de motivation vous l’envoyez "à l’attention de Monsieur", car dans un premier temps elle lui est destinée et dans un deuxième temps car vous voulez attirer son attention sur votre candidature. En revanche, "à l’intention de" s’utilise lorsque l’on fait quelque chose en l’honneur de quelqu’un.

Voici quelques erreurs à éviter lors d’un entretien d’embauche, aussi bien pour l’oral que pour la lettre de motivation. Le but étant de faire bonne figure, néanmoins n’abusez pas et ne faites pas de zèle en faisant plus qu’il n’en faut…

Victime de son trop grand succès auprès des amoureux du monde entier, le célèbre pont des Arts à Paris a cédé dimanche sous le poids des "cadenas de l'amour" accrochés à lui par milliers. À présent, la mairie de la ville cherche une solution pour permettre de conserver la tradition des cadenas, tout en renforçant la sécurité de l'édifice.

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Véritable lieu de pèlerinage pour tous les amoureux qui viennent séjourner à Paris, le pont des Arts est un endroit unique dans la capitale qui permet aux tourtereaux de venir y accrocher symboliquement un cadenas afin de sceller leur amour. Mais seulement voilà, au fil des ans les cadenas se sont tant multipliés sur le pont qu'à présent celui-ci menace de céder sous le poids de milliers de petits loquets.

Le poids de l'amour aura-t-il raison du pont des Arts ?

Apparue en 2008, cette tradition qui consiste pour les amoureux à venir accrocher un petit cadenas aux parapets du pont des Arts est devenue aujourd'hui un véritable problème pour la ville de Paris. Accusés de dégrader le patrimoine architectural, ces cadenas mettent surtout et avant tout en péril la sécurité du pont qui menace de s'écrouler par endroits à cause d'une charge trop importante. Ce dimanche 8 juin en fin d'après-midi, un pan entier du pont a en effet cédé sous le poids des milliers de cadenas qui y étaient accrochés.

Un phénomène qui fait réagir depuis quelques semaines la maire Anne Hidalgo qui a fait savoir qu'elle souhaitait voir décrocher les cadenas qui envahissent les ponts. Selon une feuille de route transmise à son adjoint à la culture, Bruno Julliard, celle-ci attend qu'une proposition à la fois "artistique, solidaire et écologique" soit apportée pour trouver une alternative qui satisfasse tout le monde. "Nous ne sommes pas sur une logique punitive, nous voulons être dans une démarche incitative", a expliqué Bruno Julliard qui a réagi dimanche sur Twitter après l'effondrement de (...) Lire la suite sur Gentside.com

Plus d'un demi-siècle après Jacques-Yves Cousteau, l'océanographe Fabien Cousteau a réussi l'exploit de séjourner lui aussi durant plusieurs jours sous la mer. À la différence près que celui-ci a réussi à tenir un jour de plus que son illustre grand-père.

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Agé de 46 ans, l'aventurier et océanographe français Fabien Cousteau a de qui tenir. Avec un grand-père aussi célèbre que le commandant Cousteau, celui-ci ne pouvait que réaliser un exploit dont aurait pu aisément se féliciter son aïeul. Durant 31 jours, ce dernier a en effet séjourné dans une sorte de logement sous-marin afin de pouvoir observer la faune et la flore qui peuplent les eaux situées au large de Key Largo, l'une des îles de l'archipel des Keys au sud de Miami.

Une mission "symbolique"

En partant occuper ce logement de la taille d'un bus à près de 20 mètres de profondeur durant 31 jours, Fabien Cousteau a pulvérisé le record jusque-là détenu par son propre grand-père Jacques-Yves Cousteau. En 1963, le célèbre explorateur s'était en effet rendu dans les eaux de la mer Rouge pour y passer 30 jours sans remonter une seule fois à la surface.

À son tour, Fabien Cousteau aura donc réussi à tenir aussi longtemps, avec même une journée supplémentaire, comme pour faire un clin d'oeil "symbolique" à celui dont il s'est tant inspiré. "Le record n'a jamais été le but. Je sais que c'était un challenge. Que ce jour supplémentaire symbolique était une attention pour les gens", s'est exprimé l'océanographe en conférence de presse après son aventure.

Une mise à l'épreuve d'un mois

Durant son séjour sous-marin, Fabien Cousteau n'a bien sûr pas passé des vacances. Dans son vaisseau de 13 mètres de long doté d'une salle de bain, de six couchettes, de l'air conditionné et de la WIFI, l'explorateur a occupé son temps à observer en compagnie de son équipe, les eaux turquoises de Floride.

Bien que le séjour se soit (...) Lire la suite sur Gentside.com